Membres chercheurs réguliers
Myreille St-Onge
Psychologue de formation, elle s’intéresse principalement aux effets de la pair-aidance et du soutien par les pairs sur la participation sociale de personnes présentant des incapacités d’ordre moteur ou d’un trouble de santé mentale. Elle s’intéresse également au soutien aux études de jeunes présentant des incapacités. Elle a participé activement au développement de groupes d’entraide pour les personnes qui entendent des voix dérangeantes.
Mélanie Levasseur
Ergothérapeute de formation, elle s’est spécialisée en recherche cliniques (gériatrie & réadaptation) et en santé publique (promotion de la santé). Elle a développé un programme de recherche sur le développement et l’évaluation d’un continuum d’interventions innovantes pour favoriser la participation sociale des aînés. Ces interventions incluent l’Accompagnement-citoyen personnalisé d’intégration communautaire (APIC), le programme Remodeler sa vie (Lifestyle Redesign®) et l’Indice du potentiel de participation sociale (IPPS). Afin de favoriser autrement la participation sociale des aînés, d’autres interventions innovantes visent à rompre avec l’âgisme, à stimuler socialement les aînés grâce à la robotique, à développer l’entraide de citoyens et à revitaliser des centres-villes plus inclusif.
Valérie Poulin
Ergothérapeute de formation dont les intérêts de recherche portent sur 1) la réadaptation et l’inclusion sociale des personnes vivant avec des incapacités, notamment des incapacités cognitives, ou celles vivant des situations de vulnérabilité, et 2) le transfert de connaissances et la mise en oeuvre de pratiques exemplaires dans ces domaines.
Philippe Cardou
Ingénieur mécanique de formation, ses intérêts de recherche portent sur la robotique et les mécanismes, avec un intérêt spécifique pour les robots à entraînement par câbles similaires à la Skycam.
Patrick Fougeyrollas
Anthropologue de formation, il s’est spécialisé dans les Études sociales du handicap. Ses intérêts de recherche portent sur le développement humain et le processus de production du handicap; les droits humains; la mesure de la participation sociale et de l’environnement; l’accès inclusif, l’évaluation des politiques et programmes; les représentions sociales; les compensations du handicap; les mouvements de défense des droits, les villes inclusives, le vivre-ensemble, l’intersectionnalité, l’assistance personnelle.
Mathieu Hotton
Audiologiste de formation, ses intérêts de recherche portent principalement sur l’utilisation et l’efficacité des nouvelles technologies d’amplification auditive (prothèses auditives et aides de suppléance à l’audition) ainsi que sur les pratiques professionnelles entourant le processus d’appareillage. Il s’intéresse aussi aux nouvelles approches de réadaptation de même qu’à l’évaluation des besoins en audiologie.
Martin Caouette
Psychoéducateur de formation, ses intérêts de recherche portent sur l’autodétermination des adultes présentant une déficience intellectuelle ou un trouble du spectre de l’autisme, pour mieux comprendre les enjeux en contexte résidentiel, socioprofessionnel et lors de la transition de l’école à la vie adulte. Il s’intéresse aux pratiques des intervenants les accompagnant. Pour favoriser le transfert des connaissances et la proximité avec les milieux clinique, il collabore avec différents milieux de pratiques québécois et internationaux.
Marie-Catherine St-Pierre
Orthophoniste de formation, ses intérêts concernent les troubles du langage oral et écrit à l’âge scolaire. Elle s’intéresse aux processus langagiers à la base de l’apprentissage et de la maîtrise de la lecture et de l’écriture et vise le développement des pratiques, soit que les intervenants offrent une aide adaptée et appropriée à l’enfant vivant des difficultés langagières basée sur les données probantes. Ces travaux portent sur l’intervention auprès d’élèves avec difficultés langagières orales ou écrites et le développement professionnel continu auprès des enseignants et professionnels scolaires.
Jason Bouffard
Ergothérapeute de formation, ses recherches portent sur l’évaluation des effets de la douleur et de la fatigue sur les mouvements réalisés dans un contexte écologique. Il vise à la fois le développement d’une compréhension fondamentale du fonctionnement du système sensorimoteur et l’amélioration des méthodes d’évaluation et d’intervention visant la prévention et la réadaptation des incapacités motrices en prenant en considération les impacts de la douleur et de la fatigue.
Manon Truchon
Manon Truchon est professeure titulaire à l’École de psychologie de l’Université Laval. Ses enseignements touchent les domaines de la psychologie de la santé au travail. Le stress au travail ainsi que les déterminants du bien-être et de la satisfaction au travail sont au cœur de ses préoccupations de recherche, de même que l’élaboration, le suivi et l’évaluation d’interventions organisationnelles préventives (p. ex. approches collectives et participatives, approche ergonomique) visant à créer des environnements de travail éthiques et capacitants favorisant le bien-être, la qualité de vie au travail et la productivité. Elle s’intéresse depuis plus récemment au climat organisationnel de santé et de sécurité psychosociale qui réfère aux pratiques, politiques et procédures visant à protéger la santé et la sécurité psychologiques en milieu de travail et à prévenir l’absence de courte et de longue durée liée aux troubles musculosquelettiques et psychologiques. Les approches de prévention primaires individuelles et organisationnelles de prévention du stress au travail de même que de l’épuisement professionnel et du stress post-traumatique vicariant font également partie de ses intérêts.
Véronique Flamand
Ergothérapeute de formation, ses intérêts portent sur la fonction manuelle des individus ayant des troubles du mouvement afin d’optimiser les interventions de réadaptation des membres supérieurs des enfants et adolescents ayant des atteintes neurologiques et des adultes ayant des troubles musculosquelettiques. Ces travaux visent à mieux comprendre les mécanismes neurophysiologiques liés au contrôle du mouvement, ou à développer – dans une approche multidisciplinaire et itérative – de nouvelles technologies d’assistance pour réaliser des activités de la vie quotidienne de façon plus autonome.
Isabelle Feillou
Ergonome de formation, ses intérêts de recherche portent sur le travail de CARE, plus particulièrement en CHSLD, l’intégration au travail des personnes en situation de handicap ainsi que sur la contribution de l’ergonomie à la conception innovante de systèmes de travail ou d’usages. Elle souhaite contribuer au développement de connaissances et d’intervention permettant la création d’organisations et d’environnements capacitants, selon des modalités participatives.