Chercheur régulier
Catherine Mercier
Ergothérapeute de formation, ses intérêts de recherche porte sur les fonctions sensorimotrices et la douleur chez une variété de populations cliniques en réadaptation (paralysie cérébrale, lésion médullaire, AVC, amputation, douleur chronique, etc.). Les travaux réalisés dans son laboratoire portent à la fois sur le développement d’intervention en réadaptation et sur la compréhension des mécanismes neurophysiologiques sous-jacents à l’aide de technologies telles que la stimulation cérébrale non-invasive, l’électrophysiologie, la réalité virtuelle, la robotique.
Jean-Sébastien Roy
Physiothérapeute de formation, ses intérêts de recherche portent sur la caractérisation des déficits sensorimoteurs observés à la suite d’une atteinte musculosquelettique (à l’aide de systèmes d’analyse du mouvement et de l’activité électromyographique, de la stimulation magnétique transcranienne, de dynamomètre et de questionnaires auto-administrés) et sur l’évaluation des effets d’interventions en réadaptation ayant pour but la rééducation des déficits sensorimoteurs.
Maxime Robert
Kinésianthropologue de formation, il s’intéresse à l’apprentissage moteur et le contrôle moteur chez les enfants avec une paralysie cérébrale. Il s’intéresse aussi à trouver des biomarqueurs neurologiques pour prédire les fonctions motrices des membres supérieurs chez les enfants.
François Routhier
Ingénieur de formation, ses intérêts de recherche portent sur le développement et l’évaluation de l’apport d’aides techniques, des interventions connexes (p. ex. l’entrainement et l’évaluation) ainsi que d’aménagements résidentiels/urbains sur la mobilité, le niveau d’activité, l’autonomie ou la participation de personnes présentant une déficience physique ou qui sont en perte d’autonomie, de même que sur leurs proches aidants.
Marie-Ève Lamontagne
Ergothérapeute de formation, ses intérêts de recherche portent sur les déterminants, notamment organisationnels, de la mobilisation des connaissances en neurotraumatologie afin de faciliter le changement et l’amélioration de la pratique en réadaptation. L’évaluation de programme et d’intervention et les différents modèles d’organisation de services sont également des enjeux d’intérêts dans sa programmation de recherche.
Philip Jackson
Neuropsychologue de formation, ses travaux se basent sur diverses méthodes telles l’imagerie cérébrale, la neurostimulation non-invasive et la réalité virtuelle, pour étudier les marqueurs physiologiques et neurophysiologiques de la cognition sociale ainsi que les facteurs pouvant moduler l’empathie humaine. Les plus récents développements de son laboratoire portent sur la recherche de marqueurs neurophysiologiques lors d’interaction humain-machine, notamment avec des agents virtuels exprimant des émotions.
Katia Turcot
Kinésiologue de formation, ses intérêts de recherche portent sur l’analyse tridimensionnelle (3D) du mouvement et de la biomécanique du corps humain en lien avec le système musculosquelettique. Elle s’intéresse particulièrement à l’analyse de la marche, de la posture et des mouvements fonctionnels chez des personnes avec et sans incapacités.
Bradford J. McFadyen
Kinésiologue de formation, il est expert en contrôle locomoteur et son adaptation à l’environnement chez des populations saines et ayant des troubles de mobilité (p.ex. avec le vieillissement ou après des lésions cérébrales acquises). Les techniques utilisées en laboratoire sont l’analyse de mouvement, l’électrophysiologie et la réalité virtuelle. L’application implique le développement d’outils d’évaluation et d’intervention clinique pour la mobilité.
Philippe Fournier
Audiologiste de formation, ses recherches portent sur différentes pathologies auditives, dont l’acouphène, l’hyperacousie, la misophonie et le syndrome du choc acoustique. Ses recherches visent à mieux comprendre les mécanismes pathophysiologiques responsables de l’apparition de ces différentes pathologies auditives, à développer de nouvelles mesures diagnostiques et améliorer la prise en charge de ses patients par la mise en place de thérapies innovantes.
Jean-Philippe Després
Titulaire d’un Ph. D. en éducation musicale et guitariste classique de formation, ses principaux centres d’intérêt sont les approches innovantes en pédagogie musicale (incluant l’apprentissage par le jeu et soutenu par les TIC), la créativité et l’improvisation, afin de développer des approches pédagogiques inclusives et adaptées pour l’enseignement-apprentissage de la musique. Il dirige notamment sur le laboratoire musical extra-ordinaire, un projet de recherche musical destiné aux jeunes vivant avec une déficience intellectuelle ou physique.
Maude Desjardins
Ses intérêts de recherche portent sur différents enjeux relatifs aux troubles de voix, et particulièrement ceux reliés au développement et au traitement de dysphonies de tension musculaire et de la presbyphonie. Ses travaux cherchent notamment à établir comment différents aspects de la respiration contribuent à perpétuer de tels problèmes, afin de valider des pratiques cliniques établies dans le domaine de l’orthophonie et de guider le développement de nouvelles thérapies plus personnalisées.