Membres chercheurs réguliers

Stéphanie Bernard

Physiothérapeute de formation et clinicienne depuis plus de 17 ans dans le secteur privé, ses travaux portent sur la réadaptation oncologique, notamment après un cancer pelvien, et la réadaptation en santé périnéale et pelvienne.

Christine Turgeon

Audiologiste de formation, ses intérêts de recherche portent notamment sur les habiletés perceptuelles auditives et visuelles ainsi que sur la production de la parole chez une population privée de l’audition, dont les porteurs d’implant cochléaire. Également, elle vise améliorer la qualité et l’accessibilité des services audiologiques dans les pays en voie de développement et les régions éloignées en examinant l’apport des outils technologiques disponibles pour contrer le manque de ressources.

Pre Laura Monetta

Laura Monetta

Orthophoniste de formation, ses principaux travaux de recherche portent sur la caractérisation, l’évaluation et l’efficacité de l’intervention des troubles acquis du langage chez les adultes monolingues et bilingues. Elle s’intéresse également au co-développement, validité et implantation des programmes favorisant l’intégration et la participation social des personnes avec un handicap communicationnel.

Pr Maximiliano Wilson

Maximiliano Wilson

Neuropsychologue de formation, ses intérêts de recherche portent sur les changements aux niveaux du cerveau permettant le traitement du langage, de la lecture et de la sémantique au cours du vieillissement normal et pathologique (p.ex., chez l’aphasie primaire progressive et la maladie d’Alzheimer). Il combine des études du comportement avec des techniques d’imagerie du cerveau, telles que la résonance magnétique et les potentiels évoqués (électroencéphalographie).

Michel-Pierre Coll

Michel-Pierre Coll

Neuropsychologue de formation, ses intérêts de recherche portent sur la neuroscience cognitive de la douleur et sur l’application de techniques d’intelligence artificielle et de modélisation computationnelle aux données d’imagerie cérébrale dans le but de développer des outils permettant de mesurer la douleur perçue et comprendre sa modulation par les processus d’apprentissage.